le monde n'est pas une marchandise  |
Humour (parfois noir) - Black Humour |
Hommage
au plus internationaliste des américains d'accueil (de nationalité anglaise) du XXème
siècle, Charles Spencer Chaplin dit Charlie Chaplin, autrement nommé Charlot. Lorsque
l'humour devient une relation transformante, au delà du voile de l'illusion et de la
manipulation. Voici, en ce début du XXI ème siècle des images-miroirs, images-verbes,
images-silences, images-cris, images-indignations. Images sens. Merci à tous les
créatifs . |
Homage
to the more internationalist of American of XXème century, Charles Spencer Chaplin says
Charlie Chaplin, name: Charlot. When humour becomes a transforming relation, beyond the
veil of the illusion and handling. Here, in this XXI 2nd century beginning of the
image-mirrors, image-verbs, image-silences, image-cries, image-indignations. Images feel.
Thank you with all the creative ones. |
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blagues jokes |
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Français |
English |
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COMMENT COMMENCER OU FINIR UNE BELLE JOURNÉE ?
Instructions
1 - Créer un nouveau dossier dans votre ordinateur
2 - Le renommer George W Bush
3 - Le mettre à la poubelle
4 - Vider la poubelle
5 - L'ordinateur vous demandera : Voulez-vous vraiment éliminer George W Bush ?
6 - Répondre calmement "oui" en cliquant fermement sur le bouton de la
souris !
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Au
fin fond de la campagne, un poulet traverse une route. Question: Pourquoi le poulet a-t-il
traversé la route ? Voyons comment les hommes importants auraient répondu à cette
question fondamentale... (NB : Lisez bien jusqu'à la dernière...)
RENÉ
DESCARTES
: Pour aller de l'autre côté.
PLATON
: Pour son bien. De l'autre côté est le Vrai.
ARISTOTE
: C'est la nature du poulet de traverser les routes.
KARL
MARX
: C'était historiquement inévitable.
CAPITAINE
JAMES T. KIRK
: Pour aller là où aucun autre poulet n'était allé
auparavant.
HIPPOCRATE
: En raison d'un excès de sécrétion de son pancréas.
MARTIN
LUTHER KING JR.
: J'ai révé d'un monde où tous les poulets seraient libres de traverser la route sans
avoir à justifier leur acte.
MOISE
: Et Dieu descendit du paradis et Il dit au poulet : " Tu dois traverser La
route". Et le poulet traversa la route et Dieu vit que cela était bon.
RICHARD
M. NIXON
: Le poulet n'a pas traversé la route, je répète, le poulet n'a JAMAIS traversé la
route.
NICOLAS
MACHIAVEL
: L'événement important c'est que le poulet ait traversé la route. Qui se fiche de
savoir pourquoi ? La fin en soi de traverser la route justifie tout motif quel qu'il soit.
SIGMUND
FREUD
: Le fait que vous vous préoccupiez du fait que le poulet ait traversé la route révèle
votre fort sentiment d'insécurité sexuelle latente.
BILL
GATES
: Nous venons justement de mettre au point le nouveau "Poulet Office 2003", qui
ne se contentera pas seulement de traverser les routes, mais couvera aussi des oeufs,
classera vos dossiers importants, etc...
BOUDDHA
: Poser cette question renie votre propre nature de poulet.
GALILEE
: Et pourtant, il traverse.
DE
GAULLE
: Le poulet a peut-être traversé la route, mais il n'a pas encore traversé l'autoroute
!
EINSTEIN
: Le fait que ce soit le poulet qui traverse la route ou que ce soit la route qui se meuve
sous le poulet dépend uniquement de Votre référentiel.
GEORGE
W. BUSH
: Le fait que le poulet ait pu traverser cette route en toute impunité malgré les
résolutions de l'ONU représente un affront à la démocratie, à la liberté, à la
justice. Ceci prouve indubitablement que nous aurions dû déjà bombarder cette route
depuis longtemps. Dans le but d'assurer la paix dans cette région, et pour éviter que
les valeurs que nous défendons ne soient une fois de plus bafouées par ce genre de
terrorisme, le gouvernement des Etats-Unis d'Amérique a décidé d'envoyer 17
porte-avions, 46 destroyers 154 croiseurs, appuyés au sol par 243000 G.I. et dans les
airs par 846 bombardiers, qui auront pour mission au nom de la liberté et de la
démocratie, d'éliminer toute trace de vie dans les poulaillers à 5000 km à la ronde,
puis de s'assurer par des tirs de missiles biens ciblés, que tout ce qui ressemble de
près ou de loin à un poulailler soit réduit à un tas de cendres et ne puisse plus
défier notre nation par son arrogance. Nous avons décidé qu'ensuite, ce pays sera
généreusement pris en charge par notre gouvernement, qui
rebâtira
des poulaillers suivant les normes de sécurité en vigueur, avec à leur tête, un coq
démocratiquement élu par l'ambassadeur des Etats-Unis.
En
financement de ces reconstructions, nous nous contenterons du contrôle total de la
production céréalière de la région pendant 30 ans, sachant que les habitants locaux
bénificieront d'un tarif préférentiel sur une partie de cette production, en échange
de leur totale coopération. Dans ce nouveau pays de justice, de paix et de liberté, nous
pouvons vous assurer que plus jamais un poulet ne tentera de traverser une route, pour la
simple bonne raison, qu'il n'y aura plus de routes, et que les poulets n'aurons plus de
pattes. Que Dieu bénisse l'Amérique ! |
ONU:
Comment savez-vous que Saddam Hussein possède des armes de destructions massives? Bush:
Je le sais, c'est tout. ONU: Oui, mais comment pouvez-vous en être
sûr? Bush: Nous avons gardé les factures.
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RECONQUERIR NOTRE
POUVOIR . C'est l'histoire d'une femme qui se rend en province pour
affaire. Sur le coup de 13h, elle passe à l'hôtel réserver une chambre pour la nuit.
Comme elle n'est pas du coin, l'hôtelier lui demande une caution et la dame, vu qu'il
n'accepte pas les chèques, lui donne un billet de 100 euros. L'hôtelier, content, lui
réserve donc sa chambre et elle part régler ses affaires en ville. Le pâtissier qui a
vu la scène dit au patron: "Hé, ça faite presque un mois que tu me dois 100 euros
pour le gâteau d'anniversaire de ta fille, si tu vois ce que je veux dire...", et le
patron de mauvaise grâce lui donne donc le billet de 100 euros.
Chemin faisant, le pâtissier rentre chez lui et passe devant le garagiste à qui il
devait près de 100 euros. Il s'arrête, et faisant le généreux, lui tend le billet de
100 euros pour rembourser sa dette. Heureux d'avoir soldée son dû, il s'éloigne.
Cependant, la scène avait nouveau un témoin: le maçon qui finissait juste le carrelage
de l'appentis du garage. Il se presse donc vers le garagiste en lui rappelant que, comme
convenu, cela faisait 100 euros de la main à la main. Le garagiste le paye, et le maçon
rentre chez lui radieux. A peine arrivé, sa femme lui dit que le boucher réclame à
corps et à cris le solde de son ardoise et menace de ne plus le servir. Par chance, il
lui fait grâce des quelques euros et arrondi la note à 100 euros. Le mari, avec un
sourire sauveur, donne le billet à sa femme qui court à la boucherie régler son dû. Le
boucher, content d'être enfin payé va fêter ça au bar-hôtel du coin, mais sitôt un
pied dans la salle, l'hôtelier lui rappelle qu'il attend toujours le règlement des trois
nuitées pour la noce de son fils. Bon gré, mal gré, le boucher lui donne le fameux
billet de 100 euros de notre histoire.
Moralité, ce billet de 100 euros, aura permis de solder 400 euros de dettes!
Mais l'histoire ne s'arrête pas là ... la femme revient justement à l'hôtel pour dire
qu'elle veut annuler sa réservation. Cela arrange l'hôtelier car un de ses fidèles
client s'était vu mettre en liste d'attente. L'hôtelier lui rend donc son billet de 100
euros. C'est donc au final avec zéro euro, que les 400 euros de dettes auront été
annulés!
Mais ... l'histoire continue encore, la femme prend le billet, sort son briquet et le
brûle! C'était un faux billet!!! >> On me demande souvent comment on peut regagner notre pouvoir face au
bulldozer qu'est la société de consommation. Une réponse est dans cette histoire.
L'argent n'est rien, ne vaut rien, seule la confiance en l'argent vaut quelque chose. Un
billet n'a de valeur que par celle que vous donnez en le "croyant". Seule la
croyance en une économie de marché peut la faire vivre.
Pour conclure, on peut se poser une autre question "Mais qui est le bénéficiaire de
ce système?", la réponse est simple: les banques. Reprenez la même histoire
avec 1000 euros, les personnes ont du emprunter ... à la banque. Mais comme dans notre
histoire, la banque n'a pas besoin d'avoir 4000 euros, 1000 euros suffisent et encore,
seule la croyance en "la banque à 1000 euros" peut suffire si tous le
villageois sont à la même banque. Il y a d'ailleurs longtemps que la monnaie, les
billets ne sont plus convertibles en or, vous préssentez le pourquoi?...
...........................................
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English |
At
the fine bottom of the countryside, a chicken crosses a road. Question: Why the chicken
did cross the road? Let us see how the important men would have answered this fundamental
question... (NB: Read well until the last...)
RENÉ
DESCARTES:
To go on other side.
PLATON
: For
its good. Other side is Truth. ARISTOTE
: It
is the nature of chicken to cross the roads. KARL
MARX
: It
was historically inevitable. CAPITAINE
JAMES T. KIRK
: To
go where no other chicken had gone before. HIPPOCRATE
: .Because
of an excess of secretion of its pancreas. MARTIN
LUTHER KING JR.
: I a dream of a world where all the chickens would be free to cross the road without
having to justify their act.
MOISE
: And God went down from the paradise and He says to chicken: " You must cross the
road ". And the chicken crossed the road and God saw that that was good...
RICHARD
M. NIXON
: The chicken did not cross the road, I repeat, the chicken NEVER crossed the road. NICOLAS
MACHIAVEL
: The
important event it is that the chicken crossed the road. Who card-indexes knowledge why?
The end in itself to cross the road justifies any reason whatever it is. SIGMUND
FREUD
: The fact that you are worried owing to the fact that the chicken crossed the road
reveals your strong feeling of sexual insecurity latent. BILL
GATES
: We precisely have just developed the new " Chicken Office 2003 ", which will
not be only satisfied to cross the roads, but will brood also eggs, will classify your
important files, etc...
BOUDDHA
: To put this question disavows your own chicken nature. GALILEE
: And yet, it crosses.
DE
GAULLE
: The
chicken perhaps crossed the road, but it did not cross the motorway yet! EINSTEIN
: The
fact that it is the chicken which crosses the road or which it is the road which is driven
under chicken depends only on Your reference frame. GEORGE
W. BUSH
: The fact that the chicken could cross this road in all impunity in spite of the
resolutions of UNO represents an affront with the democracy, freedom, justice. This proves
undoubtedly that we should already have bombarded this road for a long time. With an aim
of ensuring peace in this area, and to prevent that the values that we defend are once
more ridiculed by this kind of terrorism, the government of the United States of America
decided to send 17 aircraft carriers, 46 destroyers 154 cruisers, supported on the ground
by 243000 G.I. and in the airs by 846 bombers, which will have role in the name of freedom
and of the democracy, to eliminate any trace from life in the hen houses to 5000 km with
the round, then to make sure by shootings of missiles targeted goods, which all that
resembles closely or by far with a hen house is nation by its arrogance. We
decided that then, this country will liberally be taken charges some by our government,
which will rebuild hen houses according to the safety requirements in force, with at their
head, a cock democratically elected by the ambassador of the United States. In financing
of these rebuildings, we will be satisfied with the total control of the cereal production
of the area during 30 years, knowing that the local inhabitants will benefit of a
preferential rate on part of this production, in exchange of their total co-operation. In
this new country of justice, peace and of freedom, we can ensure you that never again a
chicken will try to cross a road, for the simple good reason, that there will be no more
roads, and that the chickens will not have any more legs. That God blesses America!
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UNO: How do you know that
Saddam Hussein has weapons of massive destruction? Bush: I know, it
is to it all. UNO: Yes, but how can you be sure for it? Bush:
We kept the invoices. |
CONQUEST OUR CAPACITY. "It is the
history of a woman who goes in province for business. On the blow of 13h, it passes to the
hotel to hold a room for the night. As it is not corner, the hotel one requires a
guarantee of him and the lady, considering which it does not accept the cheques, gives him
a ticket of 100 dollars. Hotel the, content one, thus reserves its room to him and it
leaves to regulate its business downtown. The pastrycook who saw the scene said to the
owner: " Hé, that almost made a month that you owe me 100 dollars for the birthday
cake of your daughter, if you see what I want to say... ", and the owner of bad grace
thus gives him the ticket of 100 dollars. Making way, the pastrycook returns at his place
and passes in front of the mechanic with whom it had nearly 100 dollars. It stops, and
making the generous one, the ticket of 100 dollars tends to him to refund its debt. Happy
to have balanced its had, it moves away. However, the scene had new a witness: the mason
who finished just the tiling of the lean-to building of the garage. It is thus pressed
towards the mechanic by recalling him that, as been appropriate, that made 100 dollars in
person. The mechanic pays it, and the mason returns at his
place radiant. Hardly arrived, his wife says to him that the butcher claims with body and
cries the balance of his slate and threatens more to serve it. By chance, it makes him
grace of the some euros and round the note to 100 dollars. The husband, with a smile
saver, gives the ticket to his wife who runs to butchery to regulate her due. The butcher,
glad to be finally paid will celebrate that with the bar-hotel of the corner, but as soon
as a foot in the room, the hotel one recalls him that he always awaits the payment of the
three nights for the wedding of his son. Good liking,
badly liking, the butcher gives him the famous ticket of 100 dollars of our history.Morality, this
ticket of 100 dollars, will have made it possible to balance 400 dollars debts! But the
history does not stop... the woman there precisely returns to the hotel for saying that
she wants to cancel her reservation. That arranges the hotel one for one of its faithful
customer had been seen putting in waiting list. The hotel one thus returns its ticket of
100 dollars to him. It is thus with final with zero euro, that the 400 dollars of debts
will have been cancelled! But... the history still continues, the woman takes the ticket,
comes out its lighter and burns it! It was a counterfeit bill!!!"
One often asks me how one can regain our capacity vis-a-vis the bulldozer which is the
consumer society. An answer is in this history. The money is nothing, is not worth
anything, only confidence silver is worth something. A ticket has value only by that which
you give by " believing it ". Only the belief in a market economy can make it
live. To conclude, one can put another question " But which benefits of this
system? ", the answer is simple: banks. Take again the same history with 1000
dollars, the people have to borrow... from the bank. But as in our history, the bank does
not require to have 4000 dollars, 1000 dollars are enough and still, only the belief in
" the bank in 1000 dollars " can be enough if all the villager are at the same
bank. Besides for a long time the currency, the tickets are not convertible any more out
of gold, you present it why?... |
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