CALCUL DE
LIRRADIATION RECUE PAR UN POINT CHAUD DANS UN POUMON, CAS DE LURANIUM
APPAUVRI. Exposé de Maurice-Eugène ANDRE 1. Pour bien comprendre cet exposé, il faut
préalablement savoir que les atomes instables sont appelés atomes
radioactifs, et quils sont des atomes « tireurs omnidirectionnels » qui
bombardent leur entourage de projections corpusculaires subatomiques, et / ou de
rayonnements de type électromagnétiques, certains sans désemparer pendant des centaines
de milliers dannées.
2. Les tirs observés et qui émanent des atomes radioactifs, peuvent être classés en
plusieurs catégories :
- le tir corpusculaire bêta est un tir délectrons projetés du cur de
latome (du noyau) à la vitesse denviron 200 000 Km par seconde ; détectable
avec un radiamètre ou chambre dionisation.
- le tir corpusculaire neutronique, tirant des neutrons issus du cur de
latome avec des vitesses élevées variables ; - le tir corpusculaire alpha tire des
particules venant du cur de latome, particules ayant chacune une masse
importante de 7348 électrons. Elles sont éjectées à environ 20 000 Km par seconde, et
sont composées dun ensemble de 2 neutrons accolés à 2 protons ; le tir alpha est
le tir ionisant le plus lourd qui existe et qui fut erronément ignoré dans sa nocivité
il ny a pas très longtemps encore, parce que tiré de lextérieur du corps il
ne franchissait pas la barrière de la peau
Mais tiré de lintérieur du
corps par des amas datomes ayant passé la barrière cutanée, il est redoutable
pour le déclenchement des cancers quil provoque.
Le tir alpha est détectable avec un radiamètre correctement conçu. - le tir
électromagnétique gamma qui na pas de masse et qui se propage à lentour de
latome, de manière omnidirectionnelle, à la vitesse de 300 000 Km par seconde qui
est également la vitesse de la lumière.
Le tir gamma a une longueur donde qui est propre au radionuclide (ou
radionucléide) qui lémet, et cette longueur donde est « une signature »
identifiant précisément chaque radionuclide émetteur gamma, notamment détectable par
un spectromètre. Le tir gamma est détectable avec un radiamètre aussi, et avec un
spectromètre, ce dernier précisant à quel atome on a affaire. 3. Les dommages
constatés dans les cellules vivantes soumises à des tirs ionisants trop importants,
conduisent parfois à la mort et souvent à des maladies graves comme les différents
cancers.
Les tirs définis et cités ci-avant, (tirs alpha, bêta, gamma et neutroniques) sont
appelés « rayonnements ionisants ». Ils sont TOUS préjudiciables à la vie quand ils
dépassent le pouvoir de restauration des cellules. Les tirs gamma issus du sol
(radioactivité naturelle) et les rayons cosmiques provenant de lunivers, ne
dépassent normalement pas 1/10ème de REM par an (0,001 sievert) et ne sont pas
dangereux, contrairement à ce que lancienne école tentait de faire croire, cette
école confondant entre effets de la radioactivité artificielle dangereuse et effets de
la radioactivité naturelle non manipulée.
Lionisation IN SITU au coeur des cellules, produit directement des acides, des
bases, et des radicaux divers, tels HOH, OH, perturbant/déstabilisant directement leur
ADN. Chacune de nos 100 000 milliards(1) de cellules comptent jusquà 200 000
milliards de molécules, elles-mêmes formées densembles de nombreux datomes.
Cest un monde absolument prodigieux, très compliqué, qui se gère selon des lois
précises et harmonieuses que nous NE devons en aucun cas perturber « à la racine »
dans leur fonctionnement, sous peine daffliger tout lensemble du corps de
maladies graves. Note (1) : Pour un homme de 70 kg. Laction nocive des rayonnements
cités, sexerce aisément sur le matériel génétique quelle détruit ou
désorganise dangereusement, comme nous lavons précisé.
On sait que nos cent mille milliards de cellules qui composent notre corps, possèdent
chacune de lADN (acide désoxyribonucléique), lequel ADN « dirige » via
programmation les développements - comportements - et fin de vie, (apoptose ou suicide
des cellules) de chacune de nos cellules. 4. Toucher à lorganisation naturelle de
lADN est une action incroyablement irresponsable, coupable dignorance
abyssale, et dun manque de respect total de la création, qui existe. Aucun homme
nest capable de gérer lADN, et de prévoir les conséquences de pareilles
incursions criminelles. 5. Page suivante, nous abordons le calcul de lirradiation
interne que subit un poumon qui retient une particule insoluble dUA (uranium
appauvri qui contient seulement de luranium 238, car le minerai a été appauvri en
uranium 235) dun diamètre dun micromètre (soit 1 millième de millimètre ou
10- 6 mètre).
Cette irradiation fut appelée « effet de proximité » par la personne qui la
découvrit dès 1974 et publia sur ce sujet dans une revue internationale à but
scientifique en 1978. 6. Avant dexposer les calculs démontrant quune
poussière duranium 238 (ou UA) délivre des doses significatives aux environs
immédiats du site pulmonaire où elle sest logée, il faut préalablement savoir :
n que luranium métallique U 238 ou UA est un tireur alpha-gamma avec 77% de tirs
alpha dune énergie cinétique de 4,195 MeV et 23% de tirs alpha dune énergie
de 4,147 MeV ; n pour les calculs nous retiendrons la valeur moyenne de 4,184 MeV
dénergie cinétique pour les particules alpha émises par luranium 238 ou UA
;
- que les particules alpha sont 7348 fois plus lourdes que les électrons, et
quelles perdent toute leur énergie cinétique sur une distance très petite de 50
micromètres ou de 1/20ème de mm, ce qui produit une énorme ionisation des cellules
concernées ; Ce fut une grave erreur par le passé de sous-estimer la nocivité grave des
particules alpha agissant à partir de lintérieur dun organisme.
CALCUL DE LEFFET DE PROXIMITE PROVOQUE PAR DE LURANIUM AYANT PENETRE A
LINTERIEUR DE LORGANISME 7.
Nous considérons que toute particule qui pénètre lorganisme est une sphère,
cela pour la facilité des calculs. Le volume dune sphère est de 4/3 x p x R3 = 8/6
x p x (D/2)3 = 8/6 . p . D3 / 8 = 1/6 . p . D3 Cest cette dernière équation est
notre relation de départ : (0) a. Volume supposé sphérique pour la facilité du calcul,
dune particule dun diamètre de 10 - 6 mètre ou d1 micromètre de
diamètre : « Textes dAntipas - Tahat Kôl news » daoût 2003 Page 5. V =
1/6 x p x D 3 = 1/6 x p x (10 - 6 mètre) 3 = 1/6 . p . 10-18 m 3 ou 1/6 p . 10 - 15 litre
La réponse soulignée ci avant est notre relation (1). b. Poids dune particule
duranium 238 (ou dUA) supposée sphérique et dun volume donné par la
relation (1) ci avant (diamètre de 1 µm) : Un litre dUA pesant 18 950 grammes, on
peut écrire, si L représente un litre dUA : 1/6 p . 10 - 15 L pèse 1/6 . p . 10 -
15 x 18 950 g ou 1/6 . p . 18,95 . 10 - 12 gramme relation (2). La réponse soulignée ci
avant donne notre relation (2) qui est le poids de la particule dUA .
Calcul de la radioactivité de la particule définie par la relation (2). Le nombre de
désintégrations par seconde que dégage la particule dUA considérée, dun
diamètre dun micron, est en rapport direct avec le poids connu dun curie
dU 238 qui pèse 3 tonnes duranium 238, et qui présente 37 milliards de
désintégrations par seconde ou Becquerels (Bq). Le nombre de Bq ou désintégrations par
seconde observé, dépend essentiellement du poids de lUA examiné. On peut par
exemple calculer combien 1 gramme dU 238 (ou dUA) donne de Bq . La réponse
sera que 37 milliards de Bq étant issus de 3 tonnes dU 238, on aura que 1 gramme
dU 238 donnera 3 000 000 de fois moins de désintégrations, soit quon aura 12
333 Bq par gramme dU 238. Ou bien que : 1 gramme dU 238 délivre 12 333 Bq ou
désintégrations par seconde, ceci pour information. C. Nombre de Bq (désintégration
par seconde) délivré par la particule dUA considérée. Ce nombre vaut : p . 18,95
. 10 -12 g . 1/6 . 37 Bq . 10 9 . 1/3 000 000 = p . 10 - 3 . 37 . 18,95 . Bq . 1/6 . 1/3
000 000 (relation 3). D. Calcul du nombre derg libéré par seconde par la
particule, sachant que 5 MeV = 8.10 - 6 erg (1 erg valant 10 - 7 joule) et 4,184 MeV
(valeur moyenne de la particule alpha de lUA) valant 6,7. 10- 6 erg. Le nombre
recherché vaut : p . 10 - 3 . 37 . 18,95 . 6,7 . 10 - 6. 1/6 . 1/3000000 . erg / sec
(relation 4). E. Calcul du volume de la sphère de chair irradiée de 50 µm de rayon =
Vsph = 4/3 . p . (50 . 10 - 6 m)3 = 4/3 . p . 125 . 10 - 12 litre (relation 5).
« Textes dAntipas - Tahat Kôl news » daoût 2003 Page 6. F.
Calcul du poids dune sphère de chair de 50 µm de rayon : On peut estimer que le
poids dun cm 3 de chair = le poids dun cm 3 deau ou 1 gramme et
quen conséquence le poids de la sphère de chair envisagée (irradiée) est de :
4/3 . p . 125 . 10 - 9 g. relation (6) G. Irradiation en erg par gramme et par seconde de
la sphère de chair ionisée par les tirs alpha émis par la particule dUA dun
µmètre de diamètre, particule prisonnière dans un poumon : Le résultat recherché est
donné par le rapport suivant : relation (4) divisée par la relation (6). p . 10 - 3 . 37
. 18,95 . 6,7 . 10 - 6. 1/6 . 1/3000000 . erg / sec divisé par 4/3 . p . 125 . 10 - 9 g =
1, 569017 . 10 - 6 . erg . sec -1 . g -1 relation (7) Comme une année contient 3,1536 .
10 7 secondes, on constate une irradiation interne pulmonaire et ponctuelle de 3,1536 x 10
7 x 1,569017 x 10 - 6 erg par gramme par année = 49, 382275 erg par gramme par an. Soit
en RAD : (49, 382 / 100) RAD par an ; et comme lEBR (2) des alpha est de 10, on a le
résultat final suivant : 4, 938 REM par an dans la sphère vivante irradiée par
lUA. En tenant compte de la valeur arrondie nous avons donc une irradiation
prouvée, ponctuelle permanente qui totalise 5 REM (0,05 sievert) par an infligée à un
poumon par une poussière dUA dun diamètre d1 micromètre ou millième
de millimètre (donc invisible à lil) dans une petite sphère vivante
appelée hot zone. Cest lexpression même de « leffet de
proximité » en une zone ponctuelle interne. En tenant compte également des irradiations
GAMMA que nous pouvons évaluer au 1/5ème des irradiations alpha, nous avons une
irradiation annuelle totale ponctuelle de 5 REM (alpha) + 1 REM (gamma) = 6 REM (totaux)
par an et par emplacement dune poussière dUA d1 µm de diamètre
bloquée dans un poumon. relation (8) Note 2 : EBR = facteur dEfficacité Biologique
Relative, qui donne les dégâts biologiques en REM étant donné que 1 RAD x lEBR =
X REM. LEBR varie avec le type de rayonnement : il vaut 1 pour les gamma, les rayons
X, et les bêta, il vaut de 10 à 20 pour les alpha, et 20 pour les tirs neutroniques.
Note 3 : Si un amas de poussières dUA de 5 micromètre de diamètre reste
prisonnier dans un poumon, nous aurons une irradiation de 6 rem/an x 5 3 = 750 rem/an,
dans une « hot zone » doù partira le cancer.
---------------------------- Fait par Maurice-Eugène ANDRE, auteur spécialisé en
protection NBCR à 4600 Visé, Belgique, avec la collaboration bénévole de notre ami
français il de Lynx, le jeudi 21 août 2003. Reproduction interdite sans
lautorisation de léditeur.
Deuxième édition. GULFE WAR ILLNESS . Reproduction électronique autorisée en
mentionnant la source.
PAGE 1 MALADIE DE LA GUERRE DU GOLFE Edition électronique du 5 août 2002 ( mise à
jour de loriginal du 27 novembre 2 000 ) RAPPORT ANDRE : SYMPTOMATOLOGIE ET EFFETS
DE LA MALADIE DE LA GUERRE DU GOLFE, ASPECT NUCLEAIRE et EVALUATION DES IRRADIATIONS
PULMONAIRES RECUES PAR LES MILITAIRES. par Maurice Eugène ANDRE, auteur spécialisé en
matière de protection nucléaire, biologique, chimique et radiologique, - ayant
découvert et publié leffet de proximité en matière dirradiations internes,
en 1976 . La présente étude fut élaborée avec laide du document : « RAPPORT DU
PROFESSEUR ASAF DURAKOVIC, Colonel Médecin de lArmée Américaine, qui
sexprime SUR LA GUERRE DU GOLFE » Ce rapport FUT présenté par lintéressé
à Bruxelles le 26 octobre 2000
ET NE trouva bizarrement aucun écho auprès des «
autorités officielles de Bruxelles » !
Quelle honte ! Cest grâce au
journaliste français Martin Meissonnier de Paris , qui men faxa le contenu, que
jeus connaissance de ce rapport. Ainsi je pus lanalyser en qualité de
spécialiste NBCR et en révéler limportance fondamentale à quiconque désirait
connaître la vérité.
Ci-après le résultat de « mon expertise sur le RAPPORT DURAKOVIC - USA du 26 oct.
2000 ». 1. Examen du rapport dAsaf DURAKOVIC (USA) sur la maladie du Golfe, rapport
exposé à Bruxelles le 26 octobre 2000. Le rapport du Professeur A. DURAKOVIC , est
indubitablement un document scientifique de base, indiscutable, et publiant des
constatations NE pouvant PAS être niées. Ce rapport met en évidence plusieurs
éléments fondamentaux , à savoir quon peut clairement en déduire que : - a. des
projectiles contenant des uraniums (U 234, U 235, U 236, U 238) ont été utilisés sur le
théâtre des opérations au cours de la guerre du Golfe ; - b. des militaires notamment
ont été contaminés par ces différents uraniums lors des tirs, et après les tirs, non
seulement contaminés à lextérieur de leur corps mais aussi et surtout à
lintérieur de leur corps, via la respiration de poussières duraniums
brûlés, via des plaies, via de la nourriture et des boissons contaminées par des
poussières duraniums brûlés ; - c. des analyses POST MORTEM ont été effectuées
sur des échantillons de poumon, de foie, de reins, et dos humain , notamment par
spectrométrie, dont les résultats ne peuvent être mis en cause ou niés par quel que
gouvernement que ce soit ; - d. la présence duranium 236 dans ces restes humains
ainsi que dans les éclats des projectiles utilisés, montre immédiatement
lexistence dun commerce sordide et criminel du Lobby nucléaire avec des
Forces Armées. En effet, la présence dU 236 dans les éclats des projectiles
militaires, démontre que des Forces Armées ont acheté de luranium
frelaté, soit de luranium provenant de déchets nucléaires de
centrales nucléaires . Car luranium 238 en provenance directe des sols et des mines
duranium NE contient JAMAIS de luranium 236. (suite pages suivantes) - page
2 - RAPPORT ANDRE : SYMPTOMATOLOGIE ET EFFETS DE LA MALADIE DE GUERRE DU GOLFE, ASPECT
NUCLEAIRE et EVALUATION DES IRRADIATIONS PULMONAIRES RECUES. e. LURANIUM extrait
directement des mines ou des sols uranifères contient en poids : 99,283 % dU 238 -
0,711% duranium 235 - 0,0054% duranium 234. f. Il n y a jamais dU
236 dans luranium dit dorigine naturelle, soit donc en provenance
exclusive des sols et des mines ; on constate tout au plus de légères variations en U
235, de maximum 0,1% selon les endroits de la croûte terrestre qui furent utilisés. g.
CRIMINALITE FINANCIERE : l U 236 provient du retraitement de déchets nucléaires.
La présence dU 236 montre un commerce coupable des industries nucléaires vendant
des déchets nucléaires aux Armées, afin de les intégrer aux munitions. Toute présence
dU 236 dans un lot duraniums révèle donc immédiatement une corruption et
une falsification du marché de luranium avec utilisation duraniums en
provenance de produits de fission ou déchets dinstallations nucléaires : ce qui
est le cas pour les projectiles à uranium qui furent utilisés dans la guerre du Golfe.
h. Nous verrons limpact de cette irrégularité des marchés de luranium, sur
la santé des troupes engagées dans la guerre du Golfe , troupes qui ont été irradiées
par irradiations INTERNES graves suite à lutilisation duranium dans les
projectiles de la guerre du Golfe.
2. NOCIVITE DES DIFFERENTS URANIUMS UTILISES DANS LA GUERRE DU GOLFE. a. Pour
comprendre et expliquer la nocivité des différents uraniums utilisés dans la guerre du
Golfe, nous allons évidemment tenir compte pour les contaminés de lénergie
cinétique (1) des particules ALPHA (2) qui irradient les parties INTERNES (3) de
lorganisme. Ces rayonnements alpha sont émis à partir des poussières dUA
(uranium appauvri) (4) . Ces poussières dUA sont composées de différents uraniums
ayant pénétré dans lorganisme (5). Les corps des personnes contaminées sont de
ce fait irradiés intérieurement (6). Notes 1, 2, 3, 4, 5, 6. : aucun des experts que la
presse a relayé na tenu compte de ces facteurs 1 à 6, essentiels pour produire une
expertise valable. b. Ne perdons surtout pas de vue, la très grande nocivité des tirs de
particules ALPHA émises à partir de lintérieur dun corps contaminé par les
différents uraniums utilisés. Ces particules ALPHA très énergétiques ont été
émises directement à lintérieur des corps humains, par des poussières
uranifères brûlées ayant été respirées par les victimes, et se trouvant donc en
elles. c. Sachons que tous les uraniums trouvés sur les champs de bataille du Golfe dans
les fragments des bombes ou obus, sont tous des métaux émetteurs ALPHA - GAMMA et que de
ce fait ils peuvent être tous identifiés par spectrométrie g. Les émissions de
particules ALPHA très énergétiques approchent les 5 MeV. -
page 3 - RAPPORT ANDRE : MALADIE DE LA GUERRE DU GOLFE : SYMPTOMATOLOGIE, EFFETS ,
ASPECT NUCLEAIRE, EVALUATION DES IRRADIATIONS PULMONAIRES RECUES.
3. Pourquoi des poussières duranium brûlées en quantités, étaient-elles
présentes dans la guerre du Golfe ? a. Pour le comprendre et lexpliquer, il faut
savoir que luranium 238 est un métal pyrophore . Quest-ce à dire ?
Cest dire dune part, que luranium contenu dans les obus ou autres
projectiles, - non seulement se divise en très fines particules quand le projectile
arrive dans sa phase dimpact sur sa cible - , mais que dautre part, les
particules dU 238 (ou UA), quand elles sont finement divisées, prennent feu
spontanément quelle que soit leur température, et quen se consumant elles se
transforment en cendres radioactives : cest « cela » être un métal « pyrophore
» : il prend feu spontanément quand on le fragmente en très petites parties de
lordre du micromètre. b. Le Lobby nucléaire a donc eu un comportement criminel :
passer des marchés darmes radioactives en conseillant aux militaires de bourrer
leurs obus et bombes avec de luranium 238 (ou UA) parce que luranium est plus
lourd que lacier . Les densités respectives sont de 18,95 pour lUranium et
denviron 7,85 pour lacier .
Ceci signifiant que lU 238 est environ 2,5 fois plus lourd que lacier.
Aussi, si lon met un dard duranium
dans un obus ou bombe,
ou dans un autre projectile, ce dard percera à limpact facilement les
plus gros blindages ennemis, étant donné que la densité du matériel
utilisé, est une densité 2,5 fois plus grande que celle de lacier. Ce qui
permettra par leffet de lénergie cinétique accrue, de percer sans
difficulté les plus gros blindages. c. Le Lobby nucléaire na pas dit
préalablement aux militaires, quà limpact, de tels obus ou bombes
produiraient des cendres duranium très radioactives parce que brûlées par
phénomène pyrophorique. Et ensuite, que ces particules radioactives seraient
immédiatement transportées dans les airs par le moindre souffle de vent après les
impacts réussis ou ratés, les particules radioactives pouvant ainsi contaminer les
soldats alliés. Que de plus, par vent NUL, toutes les poussières radioactives créées
à chaque tir, retomberaient autour des cibles touchées ou ratées, en polluant gravement
les sols et les eaux, aux endroits des impacts pendant des temps pratiquement illimités
..
Et quenfin, toute opération de couverture par des tirs dartillerie
nécessiterait impérativement le port du masque à gaz (car masque filtrant même les
très fines particules radioactives) par tous les militaires se dirigeant vers les impacts
dartillerie qui les devanceraient pendant la bataille. Ensuite que par après, les
démineurs seraient également gravement contaminés et risqueraient de contracter des
maladies dégénératives mortelles dues à la présence de particules radioactives sur
les terrains à déminer
ENFIN QUE les hélicoptères pouvaient remuer des quantités énormes de poussières
radioactives également, spécialement pendant les atterrissages et les décollages EN
ZONES RADIOACTIVES, contaminant ainsi les équipages
et les passagers.
4. NOCIVITE DES DIFFERENTS URANIUMS TROUVES DANS LA GUERRE DU GOLFE. a. La nocivité
est fonction, dune part, du nombre des poussières radioactives ingérées et/ou
respirées, et dautre part de lénergie cinétique des particules ALPHA
rayonnées par ces poussières. Ensuite il faut extrapoler à partir dun effet
standard connu, celui du plutonium 239. On sait quune poussière de plutonium 239
dun millième de millimètre dépaisseur (1 micromètre), logée dans un
poumon, est un cas connu et dangereux pour la santé. -
page 4 - RAPPORT ANDRE : SYMPTOMATOLOGIE ET EFFETS DE LA MALADIE DE LA GUERRE DU GOLFE,
ASPECT NUCLEAIRE et EVALUATION DES IRRADIATIONS PULMONAIRES RECUES. c. En se référant à
mes publications scientifiques de 1976 qui nont jamais été contestées à ce jour,
(réf : mes publications de 1976 à propos du plutonium 239 et de ses effets sur les
poumons), et qui parurent dans plusieurs revues scientifiques internationales, dont la
prestigieuse revue internationale « ETUDES & EXPANSION », n°276 / 1978, pages 303
à 311, sous le titre « PLUTONIUM, POUMONS ET EFFETS DE PROXIMITE » et dans la revue
française PRI, protection contre les rayonnements ionisants, - directeur Jean Pignero ,
n° 65-66 de 1977, pages 3245 à 3252. Le cas du plutonium 239 polluant les poumons fut
exposé scientifiquement et est dès lors connu scientifiquement depuis les années
1976-1977-1978. d. On sait dorénavant quune poussière de Pu 239 dun micron
dépaisseur, logée dans un poumon , (poussière du Pu qui est toujours émettrice
de rayonnements ALPHA-GAMMA, comme les uraniums) délivre calculs à lappui : 113
592 rad par an à une petite sphère vivante irradiée par le Pu 239 dans le poumon.
La petite sphère vivante super irradiée est celle qui entoure directement la
poussière radioactive. Le rayon de cette petite sphère est de un 20eme de mm ou de 50
µm. e. Une telle poussière mortelle de Pu est indétectable de lextérieur du
corps, et seul le calcul spécifique de lirradiation infligée à bout portant à
partir de lintérieur du corps (calcul de leffet de proximité) révèle
lionisation intense infligée par la poussière de Pu 239 à une partie minuscule du
poumon. Cette ionisation intense déstabilise lADN des cellules concernées, ce qui
conduit au cancer. Si vous désirez recevoir la photocopie des calculs publiés dès 1976,
et de larticle scientifique concerné, sonner lauteur au numéro 0032 (0) 495
42 12 00. Dans laffirmative, vous aurez à payer les photocopies et les frais
postaux pour lenvoi demandé. f. Le facteur EBR (efficacité biologique relative)
entre en ligne de compte pour calculer les dégâts biologiques (qui se mentionnent en
REM) et être expliqués. Le facteur EBR caractérise la nocivité biologique dun
rayonnement ionisant.
Le facteur EBR (efficacité biologique relative) est de 10 pour les particules ALPHA,
de 1 pour les rayons GAMMA et BETA, et de 20 pour les rayons neutroniques. On sait que la
petite sphère de chair irradiée entourant directement le plutonium 239 bloqué dans
lorganisme sous la forme dune poussière radioactive interne, encaisse surtout
des rayons ALPHA de haute énergie. La dose absorbée trouvée et publiée est exprimée
en RAD ; elle est de 113 592 RAD par an pour une poussière de Pu 239 immobilisée. Comme
les rayons ALPHA ont un EBR de 10, il suffit donc de multiplier la mesure en RAD par
lEBR, (10), pour trouver les REM. Les 113 592 rad trouvés et publiés, multipliés
par le facteur EBR de 10, conduit à la valeur de lirradiation en REM, ce qui donne
pour la petite sphère irradiée : 113 592 rad/an x 10 (EBR) = 1 134 920 rem/an. Car 1 rad
x fact. EBR = X rem . Le rem indique lunité de dégâts dordre biologique.
Pour avoir une idée de la nocivité du plutonium dans le cas dune poussière
dun diamètre de 1 µm de Pu bloquée dans un poumon, il suffit de savoir que la
valeur de lionisation naturelle (valeur de la radioactivité naturelle - VRN) est de
100 millirem par an seulement, ou de 1/10ème de rem par an , ceci pour chaque partie du
corps, si petite soit-elle, soit donc IN TOTO. g. On sait depuis ma découverte en 1976
par des calculs précis et publiés, quune poussière radioactive bloquée dans un
poumon, provoque dans ce poumon une zone sphérique super ionisée, zone qui a la
poussière radioactive comme centre. De cette découverte on peut déduire aisément que
la petite sphère de chair irradiée par une poussière de 1 µm de diamètre de Pu 239 ,
lest à raison de plus de 11 millions de fois la valeur de la radioactivité
naturelle ou plus de ONZE MILLIONS DE FOIS LA VRN. Ceci situe le danger véritable de la
radioactivité artificielle par rapport à la radioactivité naturelle. -
page 5 - RAPPORT ANDRE : SYMPTOMATOLOGIE ET EFFETS DE LA MALADIE DE GUERRE DU GOLFE,
ASPECT NUCLEAIRE et EVALUATION DES IRRADIATIONS PULMONAIRES RECUES. h. Comme
lénergie cinétique d une particule ALPHA vaut la moitié de la masse de la
particule ALPHA, fois sa vitesse V au carré (où V = 20 000 Km par seconde), on trouve
une énergie cinétique importante qui est dissipée sur un court espace en milieu vivant.
Cette dissipation dénergie cinétique en si forte densité, perturbe lADN des
cellules violemment ionisées. i. En effet la masse dune particule ALPHA est celle
de 2 neutrons + 2 protons, soit une masse de 7 348 électrons. Les particules ALPHA
émises par de luranium, sont pratiquement de la même énergie cinétique que celle
émises par le plutonium 239, (fourchette de 4,5 à 5 MeV). On peut donc aisément
calculer combien de REM sont délivrés par une poussière radioactive duranium ou
UA d1 µm dépaisseur , en milieu vivant dans un poumon. j. Le calcul
spécifique donne pour luranium 238 ou UA, et pour une seule poussière dUA de
1 µm dépaisseur bloquée dans un poumon, une irradiation ponctuelle en hot
zone dun peu plus de 6,17 rem/an . Ceci donne, en multiple de la valeur de la
radioactivité naturelle ou VRN : environ 62 fois la valeur de la radioactivité
naturelle, ou en abrégé : 62 fois la VRN.
5. TABLEAU donnant la COMPARAISON de la nocivité de DIFFERENTS RADIONUCLIDES présents
dans les poumons en cas de contamination pulmonaire. (Méthode de lextrapolation à
partir de la nocivité du plutonium 239). a. On connaît la nocivité dune
poussière de Plutonium 239 de 1µm dépaisseur, émettrice ALPHA-GAMMA, logée dans
un poumon : elle inflige 113 592 rad/an à la hot zone super ionisée qui
lentoure. Comme il sagit dune ionisation infligée par des particules
ALPHA, celles-ci ayant un facteur de nocivité EBR de 10, ceci signifie que les dégâts
biologiques (qui sexpriment en rem) sont de 113 592 rad fois 10 ( facteurEBR) = 1
135 920 rem/an. b. Comme lionisation naturelle n est que de 0,1 rem/an IN
TOTO, soit pour chacune des cellules de notre corps, lénorme ionisation locale
infligée par une poussière radioactive de Pu 239 dans un poumon, est de 11 359 200 fois
la VRN ou valeur de la radioactivité naturelle. Comme lUA ou U238 est 184 015 fois
moins radioactif que le Pu 239, on a quune seule poussière dUA de 1µm de
diamètre, bloquée dans un poumon, délivre ponctuellement 1 135 920 rem/an divisés par
184 015 = 6,172975 rem/an (pratiquement 6,2 rem par an). Dans le cas dune poussière
de 3 µm de diamètre, la dose infligée est de 3 x 3 x 3 x 6,2 rem/an = 167,4 rem/an .
Le point chaud (hot point), très radioactif se situe
exactement autour de la poussière radioactive prise comme centre dune petite
sphère pulmonaire violemment irradiée de 50 µ de rayon (ou de 1/20 de mm de rayon).
Cette petite sphère de chair encaisse lionisation intense produite par la
poussière radioactive émettant des particules ALPHA très énergétiques en son centre.
Notons quune particule a a effectivement la masse de 2 protons + 2 neutrons,
associés, lensemble de la particule a ayant une masse égale à 7 346 électrons.
Cest une masse importante comme projectile à léchelle histologique (échelle
des cellules). -
page 6 - RAPPORT ANDRE : SYMPTOMATOLOGIE ET EFFETS DE LA MALADIE DE GUERRE DU GOLFE,
ASPECT NUCLEAIRE et EVALUATION DES IRRADIATIONS PULMONAIRES RECUES. 6. Voici une idée de
la nocivité des uraniums comparativement à la valeur de la radioactivité naturelle
(VRN)
Nocivité de lU 234 (de 1 poussière de 1µ) : elle inflige 1 008 979, 9 fois la
vrn au point chaud considéré, dans une sphère de chair de 50 µ de rayon, (soit dans
une sphère de chair dun vingtième de millimètre de rayon ) .
nocivité de lU 235 (de 1 poussière de 1µ) : elle inflige 349, 5 fois la vrn au
point chaud considéré dans une sphère de chair de 50 µ de rayon. (Rappelons quun
µm (un micron) vaut 1 millième de millimètre).
nocivité de lU 236 (de 1 poussière de 1µ) : elle inflige 10 341 fois la vrn au
point chaud considéré dans une sphère de chair de 50 µ de rayon.
nocivité de lU 238 ou UA - (de 1 poussière de 1µ) inflige 61, 172 fois la vrn
au point chaud considéré (la sphère de chair de 50 µ de rayon). En tenant compte que
lUA émet également des rayonnements via ses produits de filiation le Pa 234 et le
Th 234, on a une nocivité encore supérieure à 61,172 fois la vrn à chaque « point
chaud » où se trouve une poussière dUA. Donc une irradiation de 6,117 rem par an
à chaque point chaud est une valeur obtenue indiscutablement PAR DEFAUT, cest dire
que 6 rem/an par poussière dUA de 1 µm dépaisseur, est une appréciation en
dessous de laquelle on ne peut descendre, pour évaluer le tort radiologique infligé à
un irradié.
Afin de calculer la valeur de la nocivité radiologique des différents uraniums, il a
été préalablement procédé au calcul du poids de chaque Curie des différents isotopes
cités, UN CURIE étant le poids nécessaire, exprimé en grammes, pour chacun des
uraniums considérés, afin dobserver à chaque fois le même nombre exact de
désintégrations par seconde (ou becquerel), soit 37 milliards de désintégrations par
seconde . Voici ces poids respectifs dun curie par isotope , ci-dessous : 1 Curie de
Pu 239 = 16, 3 grammes de Pu 239 où lon observe 37 milliards de
désintégrations/seconde ; 1 Curie dU 238 = 3 000, 254 kilogrammes où
idem
idem 1 Curie dU 236 = 15 765 , 744 grammes où
idem idem 1 Curie dU 235
= 466 370 , 1 grammes où
idem idem 1 Curie dU 234 = 161 , 554 grammes où
idem idem On peut constater que lU 234 est extrêmement dangereux en
irradiations internes et conduit à une action très invalidante et/ou mortelle à moyen
terme. -
page 7 - RAPPORT ANDRE : SYMPTOMATOLOGIE ET EFFETS DE LA MALADIE DE GUERRE DU GOLFE,
ASPECT NUCLEAIRE et EVALUATION DES IRRADIATIONS PULMONAIRES RECUES. Suivent alors les U
235, et U 236, dont les irradiations internes infligées aux poumons sont également
invalidantes et redoutables, le plus morbide de ces deux métaux radioactifs étant
lU 236. Enfin vient lU 238 dont une seule poussière dun micron
dépaisseur se logeant dans un poumon produit en permanence tout de même 61 fois
lionisation naturelle aux points chauds concernés.
On peut donc en conclure quun mélange de plusieurs uraniums est un MELANGE
RADIOACTIF REDOUTABLE pour toute personne étant contaminée par voie interne, quels que
soient les organes contaminés : poumons, os, foie, reins, tractus gastro-intestinal, et
le gros intestin . 7. Ceci justifie pleinement la condamnation des responsables de ces
marchandages darmes monstrueuses, invalidantes, utilisées dans la guerre du Golfe,
et de la corruption agissante du Lobby nucléaire, ainsi que lurgence des
dédommagements qui doivent être alloués aux victimes irradiées, ou à défaut à leur
famille : veuves et enfants.
8. Les différents isotopes d URANIUM et leurs dangers. a. Les URANIUMS les plus
dangereux sont dune part, les Uraniums émetteurs ALPHA qui infligent des effets
internes de proximité, après inhalation sous forme de particules brûlées ou de
composés gazeux ; dautre part ceux qui montrent la plus petite demi-vie radioactive
sont les plus nocifs, car plus leur demi-vie radioactive est courte, plus ils
désintègrent rapidement : ce qui signifie quils émettent alors plus de particules
ALPHA sous forme dénergie cinétique ionisante émise de manière interne, en un
temps donné, dans un organe. Plus le nombre de particules émises est grand en un temps
donné, plus GRANDE est lirradiation interne. b. Rappelons que de lextérieur
du corps les particules ALPHA ne sont pas dangereuses de fait de la présence de la
barrière cutanée cornée. Mais
c. Cet écran naturel quest la barrière
cutanée
nexiste
PAS à lintérieur du corps, où les particules
ALPHA font des dégâts considérables et souvent mortels : surviennent des PARALYSIES,
des cancers , des leucémies. d. Le danger est donc maximum quand les uraniums cités
pénètrent dans lorganisme via la respiration de poussières uranifères brûlées,
et/ou de la nourriture ou boisson contaminée, ou CONTAMINATION interne via les plaies.
Les uraniums sont pyrophores. e. Une fois pénétrés à lintérieur du corps via
des aérosols, les composés uranifères sont TRES NOCIFS suite aux effets de proximité
quils provoquent sur les cellules approchées à léchelle histologique : ils
donnent alors des irradiations intenses internes très localisées. - page 8 - 9. Tableau
des différentes sortes duraniums présentant des dangers significatifs par effets
de proximité sur les poumons quand ces uraniums sont présents sous forme
daérosols dans lair ambiant. a. Isotopes - dangerosité - mode de
désintégration - ½ vie radioactive - 1 Curie - émetteur g
U 232 ENORME ALPHA 73,6 années (ou a) 0, 0477 g OUI(**)
U 233 TRES GRANDE ALPHA 162 000 a 105, 50 g OUI(**)
U 234 TRES GRANDE ALPHA 247 000 a 161, 55 g OUI(**)
U 235 GRANDE ALPHA 710 millions a 466, 37 Kg OUI(**)
U 236 GRANDE ALPHA 23 millions 900 000 a 15, 765744 Kg OUI(**)
U 238 ou UA MOYENNE ALPHA 4 milliards 510 millions a 3 000, 2543 Kg OUI(**)
b. Note (**) : lidentification exacte des différentes sortes duranium (ou
des différents isotopes de luranium) est facile en utilisant un spectromètre . Cet
appareil identifie chaque isotope en repérant les fréquences GAMMA qui lui sont propres
et qui sont de véritables signatures caractérisant quasi tous les corps radioactifs
existants.
10. LES ERREURS QUI ONT LA VIE DURE
GRACE AU LOBBY NUCLEAIRE
CES ERREURS
PERSISTENT AUJOURDHUI DANS LENSEIGNEMENT UNIVERITAIRE ET MILITAIRE ! ... (en
France, etc.) a. Première erreur enseignée partout : « Les rayonnements alpha (a)
étant arrêtés par une feuille de papier, ils ne sont jamais dangereux. » Rectification
: « Les rayons alpha ne sont pas dangereux quand ils sont émis à partir de
lextérieur du corps, mais ils sont très dangereux quand ils sont émis à partir
de lintérieur du corps. Les atomes radioactifs en mode alpha sont très dangereux
quand ils pénètrent à lintérieur du corps, notamment via la respiration, les
plaies, les aliments contaminés, les boissons contaminées. »
Quels sont les métaux ou autres produits émettant des rayonnements alpha (a) ?
Réponse : « En voici quelques-uns : le plutonium 239, et luranium 238 ou uranium
appauvri (UA)
appauvri en U 235, métal quon extrait pour faire des bombes
atomiques ». b. Seconde erreur enseignée partout : « Les tirs ou bombardements faits
avec des projectiles avec uranium appauvri (UA) , ne sont pas plus dangereux que des tirs
classiques , car luranium est un métal trop lourd que pour engendrer des cendres
radioactives qui seraient emportées par les vents ». -
page 9 - RAPPORT ANDRE : SYMPTOMATOLOGIE ET EFFETS DE LA MALADIE DE GUERRE DU GOLFE,
ASPECT NUCLEAIRE et EVALUATION DES IRRADIATIONS PULMONAIRES RECUES. Correction de
lerreur enseignée en 10. b. ci-avant : « Les métaux, même très lourds, qui sont
pyrophores, se divisent en très petits particules qui senflamment spontanément
lors des impacts. Or, quelle que soit la densité dune matière au départ, des
fragments de cette matière prennent le chemin des airs au gré de la météo, si cette
matière est divisée en particules suffisamment petites.
Comme une petite particule peut être considérée comme une petite sphère pour la
facilité du calcul, considérons le fait que, plus une sphère est petite plus sa surface
S est grande par rapport au volume V de la sphère considérée. Donc il arrivera toujours
un moment ou une sphère donnée qui deviendra suffisamment petite, présentera une
surface qui se soumettra davantage aux paramètres électrostatiques de lair
ambiant, plutôt quau paramètre de densité de masse fixé par son volume V. En
effet le rapport de la surface S dune sphère, à son volume V, nest pas du
tout une constante. En effet le rapport S / V dune sphère de rayon R, vaut 3/R , ce
qui est une fonction qui varie quand le rayon R de la sphère varie. Et quand le rayon R
de la sphère devient de plus en plus petit, le rapport 3 / R devient de plus en plus
grand. Et si R tend vers zéro, 3 / R tend vers linfini.
Ce qui signifie en clair que plus une sphère devient petite, plus sa surface prend de
limportance par rapport à son volume. Et quand un fragment de métal est brûlé et
divisé de plus en plus finement, plus la surface des aérosols devient petite, plus la
surface des particules devient un facteur prédominant : les particules approchant le
micromètre (µm) de rayon, flottent alors aisément dans les airs
et voyagent très
loin. Comme le plutonium et luranium sont des métaux pyrophores, on retrouvera ces
métaux radioactifs dans les poussières radioactives aériennes, même très loin des
lieux des explosions, contrairement à ce que le Lobby nucléaire affirme mensongèrement
avec lappui des autorités.
Et ces poussières invisibles sont dangereuses pour les poumons de chacun de nous :
elles provoquent le cancer. Reproduction électronique ou par photocopie autorisée.
Mentionner la source. Imprimé en Belgique le 01 AOUT 2002. Numéro des « Textes
dAntipas » du 05 août 2002. Dépôt légal à la Bibliothèque Royale de Belgique,
4 boulevard de lEmpereur, 1000 Bruxelles. Editeur responsable : Le Commandant
dAviation E.R.*, spécialiste en protection NBCR* Maurice Eugène ANDRE Président
du Parti Progressiste belge (PPB) et du Parti des Progressistes Européens (PEP) . Quai du
Halage, 54 - 4600 Visé - Belgique - Tél. (0032) (0) 495 42 12 00 Et pour finir en
beauté la belle science de l'imagerie. Le TECHNEC IUM , le Mage DIMITRI
et la
Médecine
Nucléaire
En 1834 naquit à Tobolsk Dimitri Ivanovitch
MENDELELÏEV qui savéra devenir un chimiste doublé dun mage . Il mourut en
1907 en gardant secrètes les arcanes qui lui avaient révélé en 1869 une chose
extraordinaire (on nen parle pas assez et pourquoi ?) : la classification chimique
des éléments existants sur Terre et dautres éléments chimiques nexistant
pas sur Terre. DIMITRI donna en effet un nombre de cases (une centaine) contenant chacune
un numéro ET un nom chimique, certains numéros mentionnant des cases provisoirement
vides ! Cest ainsi que DIMITRI prévoya la découverte dun élément chimique
43 (lhydrogène est le numéro 1) qui nexistait pas sur Terre mais que les
hommes fabriqueraient un jour.
Et effectivement cet élément chimique fut synthétisé après la mort de DIMITRI, en
1937 en Italie par PERRIER et SEGRé. On le baptisa TECHNECIUM c'est-à-dire ARTIFICIEL.
TEXTES dANTIPAS - TAHAT KOL news de janvier 2005 Page 5 Comment imaginer alors,
que ce « 43 TECHNECIUM 99 » (43 = son numéro atomique Z, et 99 = sa masse atomique)
serait plus tard fabriqué en grandes quantités (voir courbe de rendement de fission)
comme déchets radioactifs par les centrales nucléaires (produits de fission) et injecté
à des milliers dhommes
par le Corps Médical
avec laccord de
lOMS (Organisation Mondiale de la Santé)
au bénéfice du nom de la
Médecine Nucléaire
et de limagerie médicale ? On détecta en effet que ce
corps chimique 43 technecium 99 était un corps radioactif, émettant des rayons bêta
négatifs avec une demi-vie radioactive de 212 000 années !
et quil était
de plus capable « demmagasiner » des rayons gamma pendant un certain temps après
avoir été lui-même été irradié avec des rayons gamma
On trouva donc que ce Technécium 99 (1) « simprégnait » de rayons gamma
quil restituait avec une demi-vie complémentaire gamma de 6 heures, étant appelé
alors « Technécium 99 m » de la lettre « m » du mot « métastable. Evidemment le
Technécium 99m émet non seulement des gammas quil a « emmagasinés pendant son
irradiation gamma, mais il continue à émettre des bêta, AVANT, PENDANT, ET APRES, avoir
été irradié en gamma. Beaucoup de personnes ignorent quelles seront contaminées
à vie par des émissions bêta après avoir reçu une ou plusieurs injections de
Technécium 99m servant à une imagerie médicale. QUE deviendra le Technécium 99m
injecté à un patient ? Lexcitation métastable en gamma quà reçue ce
Technécium finira par disparaître et seule subsistera dans ce Technécium sa
caractéristique radioactive qui lui est propre et qui indique quil a une demi-vie
radioactive bêta de 212 000 années.
-------------------------------------------------------------------------------------
Note (1) : le 43 Technécium 99 est un atome qui a 43 protons et 56 neutrons. Maurice
Eugène ANDRE, ancien officier instructeur en protection NBCR (nucléaire, biologique,
chimique radiologique) (Belgian Air Force).
Pour votre information. Paolo Scampa In http://users.skynet.be/mauriceandre/ « Textes
dAntipas - Tahat Kôl news » daoût 2003. Dépôt légal. Page 2. |